Mission et historique

La Foire gourmande de l’Abitibi-Témiscamingue et du Nord-Est ontarien existe depuis 2002. Ce sont Line Descôteaux et Bernard Flébus, en collaboration avec différents partenaires économiques, qui ont créé l’événement. Au fil des ans, la Foire gourmande de l’ATNEO s’est taillé une solide renommée et son achalandage n’a cessé de croître. La Foire gourmande de l’ATNEO est considérée parmi les événements majeurs de la région. L’événement est le fruit d’une collaboration unique entre les deux provinces.

La mission de la Foire Gourmande est de faire la promotion de l'industrie agroalimentaire en région et d'organiser des activités de mise en valeur des produits de l'agro-transformation; elle y réussit en ayant développé une formule gagnante. En offrant un événement où l’accès au site est gratuit, qui combine dégustation de produits régionaux, animation, musique, spectacles (art et cuisine), artisanat, jeux pour enfants, elle est devenue la vitrine par excellence des produits régionaux et a largement contribué à leur connaissance, mais aussi leur reconnaissance.

La Foire gourmande de l’ATNEO, dans les dernières années, s’est donnée comme orientation de proposer une expérience culinaire inédite à ses visiteurs. À titre d’exemple, en 2011, on y a mangé dans le ciel avec l’activité Dinner in the sky. En 2014, on y mange un menu surprise dans l’obscurité totale avec l’Expérience dans le noir. En 2015, la Foire parcourt la région pour présenter les différents produits dans les épiceries avec son blogue La Foire sur la route.

De beaux principes sont associés à la Foire gourmande de l’Abitibi-Témiscamingue et du Nord-Est ontarien : l’achat local, le respect de l’environnement, l’envie de bien manger, la place consacrée aux artistes régionaux, la force de multiples collaborations, l’implication bénévole, le caractère familial, etc. L’événement est socialement bien accepté, reconnu et écoresponsable. De plus, l’événement nécessite une mobilisation incroyable. Pas moins de 500 bénévoles sont au rendez-vous pour que la grande fête puisse se tenir, chaque année, lors de la troisième fin de semaine d’août, pour accueillir les milliers de visiteurs.